J’écris pour moi de toute façon.
Alors ne lis pas, j’ai aucune envie de discuter avec toi dans les réponses.

J’me sens si seule sans lui et déprimée H24. Quand j’en parle aux gens, ils me regardent comme si ça allait s’arranger rapidement. Personne comprend lorsque je leur dit qu’il était pratiquement toute ma vie, la seule vie sociale que j’avais. Je l’aimais tellement, plus que moi-même, pour lui j’aurai tout fait, mais vraiment tout pour le garder à mes côtés. Et maintenant, ça me redonne la faute sur moi, en me disant qu’il faut que je fasse un travail sur moi, que je ne devais pas être autant attachée, autant dépendante. Et alors quoi? Vous auriez voulu que je vive une relation fade, superficiel ou juste bonarde? Vous me prenez pour quel genre de superficielle ou de fragile? Vous me prenez tellement pour une imbécile, vous, ainsi que tous les psy qui m’ont suivis. De toute façon, ils disent tous la même chose croyant être compréhensif. J’ai juste l’impression qu’ils veulent me rendre + égoïste et égocentrique que je ne peux l’être, ou bien qu’ils veulent me faire regagner un moule ou une norme. Bref j’supporte plus les écouter, ça m’agace, ils comprennent rien. La véritable aide, ça aurait été de demander à quelqu’un qui me connaisse personnellement et qui a une vraie critique valable, et pas comme tous les conseils bateaux que j’entend, facilement retrouvables sur youtube par les influenceuses.
Mais bon, cette discussion avec lui, je ne l’ai pas eu, et je ne l’aurais peut-être jamais.
Parfois, lorsque je révise, je fond en larme car je me dis que ma vie ne se résume qu’à ça. Je ne fais juste que travailler, travailler, travailler pour préserver mon avenir. Mais lorsque je travaillerai, je travaillerai pour quelqu’un, soit pour les autres. Et ça me dégoûte de devoir m’abîmer la santé mentale en révisant, révisant, révisant et avoir du soutien nulle part, de n’avoir aucun ami.
Et le pire, c’est qu’on mettra encore la faute sur moi. On me dira d’aller vers les autres, on me dira de sourire alors que j’ai envie de chialer toutes les 2 minutes, on me diras d’avoir de la personnalité, ne pas se laisser faire, avoir de l’humour, bref, être ce que je ne suis pas. Plus le temps passe et plus je sombre dans une tristesse et une déprime permanente. J’me demande si c’est pas ça qui retarde ma capacité d’apprendre.
Enfin bref, j’suis si triste. J’ai fais des efforts par le passé, j’ai invité des gens chez moi, je les ai invité à sortir en groupe, je faisais des blagues, j’aidais volontier lorsque j’avais encore des bonnes notes, j’étais trop bon publique, je saluais toujours en première et envoyais toujours le premier message. Et rien. Et j’ai fais ça 2 ans, et je n’ai pas eu 1 seul ami. Sauf lui. C’est si galère de s’en faire, pourquoi les choses ne peuvent pas se faciliter un peu? J’pense que plus tard, je serai seul, je vivrai seul et je mourrai seul.
Je ne sais plus quel philosophe disait ça, André Compte-Sponville je crois, qui a dit: <<Ainsi on est toujours seul, parce que personne ne peut se mettre à notre place. On souffre seul car personne souffre pour nous. On vit seul car personne ne vit pour nous. Enfin, on meurt seul car personne ne meurt pour nous.>>. Cette phrase prend sens et elle m’attriste, mais d’un autre côté, je pense qu’elle ne m’attristerait pas si on arrêtait, autour de moi, vous, les psy, les autres, de me dire que c’est quelque chose de triste. On pourrait seulement trouver une autre réponse à la question: pourquoi nous rencontrons-nous? Pourquoi des liens?
Bref, réfléchir me fatigue. Je n’aurai jamais les réponses à mes questions, tout ça parce que je n’ai aucun vécu. Je ne vis rien, ma vie est plus morte qu’un cimetière.
Je voudrai devenir plus forte. Pouvoir m’en foutre royalement de l’affection des autres. Je n’aurai plus aucun problème. Je pourrais travailler sans me plaindre que je ne fais que ça, puisque j’en aurais rien à faire de vivre avec d’autre. Expérimenter les amitiés, les fêtes, les boîtes de nuit, les amours longs ou furtifs, intense ou doux, Tout serait plus facile si je bannissais ça de ma vie. Ça fera juste de moi quelqu’un d’ultra ennuyeux. Quelqu’un de tragique, d’aigri, de lourd. On m’aimera encore moins, j’aurai une mauvaise réputation. Voilà un peu ce qui m’attend en bannissant la vie sociale de ma vie. Et puis ça me dégoûte tellement que je m’en tape déjà.

Bref adieu la joie, les rires, les liens, les émotions, les sensations.
Bonjour l’amertume, la gangraine et la haine.

Réponses

  • Par Rain365 (Garçon / 2001 / Suisse, Valais) le 28 janvier 2022 à 10:52

    Waw, je suis désolé, j'ai pas pu m'empêcher de lire. ça avait l'aire d'être trop bien écris et profondément sincère.
    Au final, c'est un besoin humain d'avoir des liens sociaux. Mais avec cette société superficiel. Comment trouver des personnes prêtes à accepter qui nous sommes?
    On passe malheureusement plus de temps à nuire aux autres, à être superficiel au lieu de s'occuper des gens qui nous entourent.
    Je peux te le dire moi aussi je la ressens cette solitude. Les rares gens que je côtoient sont que superficiel. De faux amis.
    A travers ma famille ou du moins se qu'il en reste, le peu de temps que je passe avec eux, c'est pour me faire critiquer, pour me rappeler mes erreurs. Donc c'est clair que c'est parfois de la m*** les liens sociaux.

    Mais au final, c'est pas la quantité qui compte. Comparait à ce qu'essaie de nous faire croire la société.
    C'est la qualité qui compte. Peu d'amis mais sincères.

    J'ai 1 personne, mon meilleur pote. Un amis d'ensemble, qui est le seul qui est là pour moi, me soutient et me fait rester ainsi.

    Crois moi 1 personne peut suffire. il suffit de trouver la bonne.

    Et crois moi, dire non à la vie social, à tes émotions, ne t'aidera pas. Accepte les. Fais les ressortir. Ne soit pas superficiel mais soit toi. Dis ce que tu penses aux gens qui te demande d'être comme eux ils veulent que tu soi. Fais les choses pour toi, comme tu en as envie et comme tu le ressens. Tu verras, avec le temps ça ira mieux. Le temps guéri les blessures. Même les plus profondes. Et ainsi tel le Fénix tu renaîtra de tes cendres. Soit la chenille qui devient papillon. Et à ce moment là, les gens ne te diront plus quoi faire, mais te demanderons comment tu as fait. Ils t'admirons et te respecterons pour ce que tu as traversé.
    Car crois moi peut importe les moments sombres que l'on traverse, la lumière, revient toujours.

    Et moi, je veux bien être ton ami.

  • Par elii (Fille / 2002 / Suisse, Genève) le 29 janvier 2022 à 21:53

    26.01.2022 15:59

    Je n'arrive pas à travailler. Mon MA va me tuer si je ne rend pas quelque chose. Je vais foirer mon année. Je stresse, je vais tout rater. Putain, pourquoi ce H. de merde occupe toutes mes pensées? La méditation en pleine conscience ça marche pas. Je me concentre 10 minutes, j'y pense pas, mais je stresse constamment. et ma productivité en 10 minutes elle vaut que dalle. J'me sens juste là à travailler avec un couteau sous la gorge. Non mais non, au lieu de me plaindre ici il faut travailler. travail travail travail travail vite vite vite

    16:22
    Je suis angoissée, les pensées sur H me reviennent. Imaginez H tombait sur ce forum. Il serait dégoûté de moi. Il conclurait d'arrêter la relation parce que ça me fait trop mal. J'imagine cette violence.......Je suis si fragile.....Je me demande si j'ai déjà été forte un jour. Je me demande si j'en vaut la peine, s'il faut croire en moi, si j'arriverai à briller dans la vie. J'ai envie d'y croire, mais comment quand tous mes échecs sont devant mes yeux? J'me hais. Je demande de l'aide, RIEN NE BOUGE. Je dois constamment provoquer les changements par moi-même alors que j'ai trop de trucs à changer. J'ai trop de trucs à penser, trop de choses vont mal. Mes études. J'ai de la peine dans toutes les matières. Même en art, qui est censé être une matière facile, j'y arrive pas. Mes idées c'est d'la merde: clichés, trop symbolique, kitch, de mauvais goût... et j'suis nulle pour invanter des concepts. Comment croire en moi putain? J'ai pas l'argent pour progresser. Les profs me demandent toujours où est le problème? C'est quoi le problème? MAIS J'EN SAIS RIEN MOI. Plus je réfléchi, moins ça va! Je m'ihnibe toute seule, mais qu'est-ce qui se passe purée... être aussi handicapée comme je le suis, je suis adaptée à rien. Je suis l'égal de personne, j'dois avoir un profond problème mental que mon psy n'a pas encore diagnostiqué. Si j'avais de l'argent, j'aurai tellement pu améliorer ma condition. J'aurai fait venir des profs tous les jours pour toutes les matières. Ah oui, l'école privée j'ai essayé et j'comprenais rien. On me dit "Salut ça va" j'prend 4 fuckin secondes à réaliser qu'on m'a parler et comment j'dois réagir: plutôt super décontracté? plutôt joyeux? plutôt désintéressé? Plutôt chill & cool ? J'me prend la tête pour que dalle. Stressé, angoissée H24. Mon psy, lorsque je lui en parle, il me dit: mais qu'est-ce que vous voulez faire + tard? Que la vie est faite d'échec et qu'il faut que j'expérimente. Il m'a fait une comparaison avec j'sais plus quel physicien qui a échoué 700 fois avant de faire fonctionner une ampoule.

    21h47, le 29.01.2022
    Quel calme apaisant, régnant au sein de ma chambre. La sérénité ne me quitte plus. Ce que je crois être de la joie dans l'heure actuelle prend la forme d'une fatigue fortement agréable et d'une rêverie qui, pour une fois, est de bonne compagnie. Laissons-nous pour ce soir oublier le temps et les tâches. Laissons-nous bercer par la rêverie, la nourrir avec quelques séries, avant de retrouver les bras de Morphée.

  • Par Rain365 (Garçon / 2001 / Suisse, Valais) le 30 janvier 2022 à 11:23

    30.01.2022 11:07

    Et si la méthode n'était pas bonne? Au lieu de se dire qu'est ce que je veux être plus tard, pourquoi pas se dire qu'est ce que je ne veux pas être plus tard. Savoir qui nous sommes, ne vient pas soudainement. Elle vient en faisant un long travail sur sois où l'on élimine petit à petit ce que l'on est pas, pour enfin découvrir qui nous sommes et ce que l'on est.

    Tu as de la chance de connaître maintenant des échecs. Ce n'est pas évident les périodes pour tout le monde. Chaque être humain passe par là. Comme là si bien dit William Churchill, "si tu traverses les enfers, continue d'avancer." Et je rajouterai "si non arrête toi et meurs là."

    Tu ne te rends pas compte, mais un jour, quand tu auras surmonté ces épreuves. (Vu que tu vas le faire tu en as la force.) Les problèmes qui te paraissent comme une montagne aujourd'hui, ne seront qu'une colline demain. La réponse à nos problèmes ne sont pas évidentes à trouvé. Mais une fois trouvé, elles nous paraissent simple.

    Si je dis que tu as de la chance d'être dans une période d'échecs, c'est que certes tu le traverse à un âge asser jeune et ça n'est pas évident mais ça te fera énormément évolué toi en temps qu'humaine. Et ça te permettra d'aller plus loins. D'être une meilleur personne. Qui aura résolu ces problèmes. Et qui ne pourra que devenir meilleur.

    Il y a un âge où la coquille qui nous entour durant notre enfance, ce brise. Et c'est là que généralement on découvre que la vie n'est pas si rose. Mais c'est dans ces moments que l'on évolue le plus.

    Alors accroche toi, tiens bon, grimpe petit à petit ta montagne. Et crois moi un jour tu seras fière de qui tu es et de ce que tu as traversé. Et là tu ne fera pas que marché ou ramper. Tu courras vers un avenir meilleur.

  • Par Rain365 (Garçon / 2001 / Suisse, Valais) le 30 janvier 2022 à 11:26

    PS:

    Je te transmet mon adresse mail (pour garder ma confidentialité ici). Et si tu m'écris je suis d'accord de te passer mes réseau pour qu'on puisse plus facilement s'écrire.

    [adresse effacée pour protéger l'anonymat - merci de respecter les conditions d'utilisation]

  • Par elii (Fille / 2002 / Suisse, Genève) le 4 mars 2022 à 03:19

    Merci pour tes conseils Rain, dommage qu’on puisse pas être en contact + que ça, tu avais l’air cool.

    04.03.2022 à 1h42
    Je viens juste poser ça là: je ne suis pas promue je crois. Trop de mauvaises notes, de la pression, puis de la démotivation. Un cercle vicieux infernal. Les autres arrivent très bien à excercer leurs passions ou réussir leurs études; je suis la seule duconne qui foire toujours tout. Je n’ai même plus d’intérêt pour mes hobbys. Je ne sais absolument pas ce qui m’arrive et je croule sous les dettes médicales. Plus aucun de mes rdv médicaux ne sont pris en charge par l’assurance maladie car j’ai dépassé un quota et je dois payer de ma poche. Financièrement, je peux demander de l’aide à personne, j’ai pas l’argent. Je peux payer ni un répétiteur, ni un test pour la dyslexie, ni de rdv avec mon médecin de famille, par conséquent mes abscences demeurent inexcusables. Ça me stresse car j’ai besoin d’aide, et comme je ne peux pas payer, je continu à me détruire. L’envie de me mutiler me revient, mais je prend des glaçons à la place pour me calmer. Je pense néanmoins que ça ne vaut pas la peine que je cherche de l’aide. J’en ai marre de chercher. J’ai été suivis plus de 4 ans par un psychiatre qui m’a aidé, pourtant rien à changer dans ma vie. J’appréhendais mieux mes échecs mais là ça deviens frustrant à un point où je pense me tuer si je réussi pas quelque chose une bonne fois pour toute.
    Et puis à côté, quel soutien j’ai? Mes amis ne peuvent pas m’écouter et me relever, c’est trop fatiguant pour eux, et je ne veux pas être envahissante.
    Enft je me sens éternellement seule et sert les dents alors que je pourrai lâcher prise et me balancer sous les voix des cff. Bref, des idées comme ça que j’ai chaque nuit. Je suis fatiguée, ça m’inhibe dans tout ce que je fais.

  • Par yupp (2000 / Suisse, Genève) le 14 juin 2022 à 19:10
    En réponse à elii
    26.01.2022 15:59 Je n'arrive pas à travailler. Mon MA va me tuer si je ne rend pas quelque chose. Je vais foirer mon année. Je stresse, je vais tout rater. Putain, pourquoi ce H. de merde occupe toutes mes pensées? La méditation en pleine conscience ça marche pas. Je me concentre 10 minutes, j'y pense pas, mais je stresse constamment. et ma productivité en 10 minutes elle vaut que dalle. J'me sens juste là à travailler avec un couteau sous la gorge. Non mais non, au lieu de me plaindre ici il faut travailler. travail travail travail travail vite vite vite 16:22 Je suis angoissée, les pensées sur H me reviennent. Imaginez H tombait sur ce forum. Il serait dégoûté de moi. Il conclurait d'arrêter la relation parce que ça me fait trop mal. J'imagine cette violence.......Je suis si fragile.....Je me demande si j'ai déjà été forte un jour. Je me demande si j'en vaut la peine, s'il faut croire en moi, si j'arriverai à briller dans la vie. J'ai envie d'y croire, mais comment quand tous mes échecs sont devant mes yeux? J'me hais. Je demande de l'aide, RIEN NE BOUGE. Je dois constamment provoquer les changements par moi-même alors que j'ai trop de trucs à changer. J'ai trop de trucs à penser, trop de choses vont mal. Mes études. J'ai de la peine dans toutes les matières. Même en art, qui est censé être une matière facile, j'y arrive pas. Mes idées c'est d'la merde: clichés, trop symbolique, kitch, de mauvais goût... et j'suis nulle pour invanter des concepts. Comment croire en moi putain? J'ai pas l'argent pour progresser. Les profs me demandent toujours où est le problème? C'est quoi le problème? MAIS J'EN SAIS RIEN MOI. Plus je réfléchi, moins ça va! Je m'ihnibe toute seule, mais qu'est-ce qui se passe purée... être aussi handicapée comme je le suis, je suis adaptée à rien. Je suis l'égal de personne, j'dois avoir un profond problème mental que mon psy n'a pas encore diagnostiqué. Si j'avais de l'argent, j'aurai tellement pu améliorer ma condition. J'aurai fait venir des profs tous les jours pour toutes les matières. Ah oui, l'école privée j'ai essayé et j'comprenais rien. On me dit "Salut ça va" j'prend 4 fuckin secondes à réaliser qu'on m'a parler et comment j'dois réagir: plutôt super décontracté? plutôt joyeux? plutôt désintéressé? Plutôt chill & cool ? J'me prend la tête pour que dalle. Stressé, angoissée H24. Mon psy, lorsque je lui en parle, il me dit: mais qu'est-ce que vous voulez faire + tard? Que la vie est faite d'échec et qu'il faut que j'expérimente. Il m'a fait une comparaison avec j'sais plus quel physicien qui a échoué 700 fois avant de faire fonctionner une ampoule. 21h47, le 29.01.2022 Quel calme apaisant, régnant au sein de ma chambre. La sérénité ne me quitte plus. Ce que je crois être de la joie dans l'heure actuelle prend la forme d'une fatigue fortement agréable et d'une rêverie qui, pour une fois, est de bonne compagnie. Laissons-nous pour ce soir oublier le temps et les tâches. Laissons-nous bercer par la rêverie, la nourrir avec quelques séries, avant de retrouver les bras de Morphée.

    Wow, je trouve tellement fascinante de comment tu t’exprimes j’aimerais tellement avoir le même parler que toi. Tu dégages de la sincérité et c’est dommage que tu n’as pas des personnes en vrai avec qui tu peux partager et être toi même. Moi également je n’ai PERSONNE qui me comprends ou me trouve étrange..

  • Par Louvenoir (Fille / 2001 / Suisse, Vaud) le 21 août 2022 à 23:21

    Je te comprends et moi même je suis perdu j'ai mon fiancé qui me fait tenir pour l'instant mais ma famille me rabaisse et la j'ai juste envie de mourir car l'être humain est entrain d'en finir avec nous j'en peux plus et je n'arrive même us à aidé les gens.

    Espérons que quand on moura, on sera enfin en paix.

  • Par valais (Garçon / 2000 / Suisse, Autres cantons suisses) le 2 août 2023 à 01:55

    Je vous ai lu cela m’a beaucoup touché, je suis en phase tout aussi compliqué. Plus âgé que les autres, sentiment de solitude, décalage après des échecs académiques avec ma génération. Peu de véritable réussite.

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